EXPOSITION / À la découverte d'Ernest Pignon-Ernest

«Toutes les rues qu’Ernest Pignon-Ernest a investies en France et à travers le monde le mènent cet été à Landerneau. Il nous invite à marcher dans ses pas et entrer dans son œuvre, à la rencontre de ses lieux, de ses personnages, face à l’Histoire, aux histoires humaines.» 
Michel-Édouard Leclerc

«Ce que je fais c’est un peu comme composer un tableau ou réaliser un montage. Ma palette ce sont les lieux, les lieux et leur histoire. Je tente d’en capter, d’en comprendre l’espace, la lumière, la couleur des murs, leurs textures, c’est-à-dire, en peintre et en sculpteur d’appréhender tout ce qui s’y voit. Et simultanément d’en saisir aussi et surtout tout ce qui ne s’y voit pas, ne s’y voit plus: l’histoire, la mémoire enfouie. Mes images naissent de cette investigation et leur insertion dans ces lieux vise à en faire des espaces plastiques et poétiques, et par ce qui est figuré à en révéler, perturber... exacerber le sens et la symbolique, la force suggestive. On a dit souvent que je faisais des œuvres en situation. En fait, je fais œuvre des situations.» 
Ernest Pignon-Ernest

Ernest Pignon-Ernest intervient depuis plus de cinquante ans dans l’espace public. Il présente à Landerneau ses installations, ses dessins, ses photographies révélant l’ensemble de son processus de création. L’exposition rassemblant plus de trois cents œuvres manifeste la puissance créative de ce grand artiste, alerté par l’état du monde, soulevé par sa passion pour l’art et la poésie, considéré parfois comme un pionnier de l’art urbain. Apparaît ainsi derrière l’ombre de l’artiste aimé du grand public un créateur complexe admiré par les plus grands penseurs et poètes d’aujourd’hui et longtemps maintenu en retrait des institutions. Ses dessins installés dans les rues des villes du monde semblent naître des murs mêmes où il les a soigneusement placés pour se glisser dans nos vies, sur nos livres, dans notre esprit. Difficile de penser à Rimbaud ou à Pasolini sans qu’immédiatement leurs silhouettes ne s’imposent à nous telles qu’Ernest Pignon-Ernest les interpréta. Ces images sont célèbres car elles sont devenues l’identité la plus familière d’un poète, d’un combat ou d’une situation. 

Écrivains, résistants, mystiques, chefs-d’œuvres du passé collés dans les rues de Naples; victimes à Soweto, Haïti, Grenoble; solitudes à Lyon, à Paris; les collages d’Ernest Pignon-Ernest réalisés souvent dans des situations complexes à Alger, Port au Prince, Ramallah, Avignon sont devenus les images rémanentes des émotions que ces figures ou ces détresses nous inspirent. L’exposition du FHEL est la célébration d’un artiste déjà fameux et dont, militants ou esthètes, artistes de l’art urbain, activistes ou amoureux de la littérature ou de l’histoire de l’art se réclament. En fréquentant son œuvre apparaissent des étapes, des processus, des méthodes, des œuvres moins familières qui révèlent une culture, une pensée, un soin que cette exposition montre en élargissant la connaissance que nous en avions. L’artiste y apparaît en situation: ses installations à l’échelle des lieux, ses œuvres photographiques qui restituent l’émotion que ses collages suscitent, les esquisses et par elles, les processus de décision qui aboutissent à l’apparition de la figure. Ernest Pignon-Ernest, l’artiste que l’on croyait connaitre, longtemps aimé du public et ignoré des institutions, est présenté pour ce qu’il est : profond, complexe, radical, soucieux de l’humain. Il est un artiste et un poète parmi ceux qu’il célèbre.

Commissariat Jean de Loisy

Ce mercredi 16 novembre, toutes les classes de CHAAP sont allées au FHEL à Landerneau pour voir l'exposition d'Ernest-Pignon-Ernest. C'est un artiste qui travail «in situ » c'est à dire que ses œuvres sont conçues pour un lieu sur lequel elle réagit. Il choisit les lieux en fonction de leur passé. Pour concevoir ses œuvres, il observe énormément le corps et ses mouvements, il s'aide notamment de corps de danseurs. Grâce à ça, nous avons l'impression que les corps prennent vie. L'artiste ne dessine qu'en noir et blanc et sur grand format. Pour cela il utilise le fusain, la pierre noire et enfin une gomme qu'il entaille pour pouvoir donner quelques effets. Il utilise également le papier journal comme support. Ernest-Pignon-Ernest prépare tous ses croquis en atelier pour ensuite pratiquer la sérigraphie et enfin pouvoir coller ses œuvres en plusieurs exemplaires dans la rue. Les sujets de la société comme l'avortement, l'exil...influence beaucoup sont travail et font passer des messages comme Les Expulsésà Paris en 1979 où l'on y voit au premier plan, un couple, bagages à la main devant un immeuble complètement détruis qui comme le nom de l’œuvre l'indique sont expulsés. C'est une exposition qui m'a beaucoup plu, c’était un autre style d'art que nous découvrions, il n'y avait que du dessin et non de la sculpture ou bien de la peinture... On nous a également expliquer que les œuvres exposés n'étaient pas les œuvres finales.

 Charline

A Paris, il y a des immeubles en pas très bon état mais donc pas chers. Au moins les moins riches (souvent les ouvrier…) peuvent vivre en plein Paris sans trop payer. Mais au fur et à mesure ses immeubles sont rénovés et les habitants sont expulsés. Ernest Pignon Ernest a donc collé sur plusieurs bâtiments délabrés des dessins d’un couple expulsés.

J’ai aussi très aimé cette œuvre car il montre que les pauvres existent et qu’ils ont besoin d’un logement.

Rosalie

J’ai bien aimé cette exposition d’Ernest Pignon Ernest. Ses œuvres étaient très réalistes en plus de représenter des personnes qui ont réellement existées.

Les jeux d’ombre et de lumière créés grâce au fusain, pierre noire et gomme spécialement sculptée par lui, étaient incroyables.

Il instaure son propre style de street art en faisant du collage de dessins qu’il prépare au préalable dans son atelier.

Je trouve bien qu’il installe ses œuvres dans des lieux en fonction de leur passé afin de dénoncer un fait politique. Cela fait de lui un artiste engagé et donne une dimension supplémentaire à son art.

Mon dessin préféré était celui qui représentait Pasolini un dramaturge, immense poète et cinéaste contesté et lui-même commentateur de son époque avec ses documentaires. L’œuvre appelée « si je reviens », laisse à réfléchir.

Alessandro

Se Torno (Si je reviens) Pasolini, Rome 2015

Ernest Pignon Ernest est un artiste plasticien français né en 1942 à Nice. Il fait de l’art urbain, en collant ses œuvres sur des murs spécialement choisi et étudié pour l’occasion.

Ernest Pignon Ernest parle de sujets d’actualités tels que le sida, l’avortement, le travail clandestin ou les déportations etc. Ces travaux sont faits au fusain ou à la pierre noire, il sculpte aussi sa gomme en lui faisant des petits entailles, ensuite il utilise la sérigraphie pour les multiplier et les coller.

J’ai vraiment beaucoup aimée cette exposition par sa façon de dessiner les corps humains, et sa manière de parler de sujets importants toujours mis en valeur dans des lieux plein d’histoire.

Marianne

Son bureau et ses inspirations

Détail de son bureau.

ses outils

Ernest-Pignon-Ernest est né le 23 février 1942 à Nice.

C'est un artiste plasticien français, il a fait de la rue le lieu même d'un art éphémère. Il est considéré comme un pionnier de l'art urbain. Il dispose ses figures, dessinées à l'échelle humaine, dans les rues du monde entier. Il choisit soigneusement des lieux pour évoquer des problèmes de la société (l'immigration, l'avortement, la colère ouvrière).

L'exposition rassemble plus de 300 œuvres de l'artiste.

Les photographies de ses œuvres montrent le contexte des lieux et le sens essentiel que l'artiste a voulu donner à ses collages.

Danaé

Etude pour Victor Segalen, 2022

J'ai aimé cet ensemble parce que l'artiste fait un tableau sur la vie d'une seule personne. Pour le coup, il s'agit de Victor SEGALEN.

Danaé

J’ai bien aimée le réalisme de ces œuvres et ce que représente ces dessins. En regardant les œuvres de Ernest Pignon Ernest, j’ai ressentie de la tristesse car ça nous montre ce que ressent Ernest Pignon Ernest envers l’injustice vu pars cette artiste

Ouissal

J’aimais beaucoup cette expo car les dessins étaient très nets et d’une précision énorme !

Quand on voit un personnage, on peut tout de suite savoir ses émotions.

Je trouve très bien qu’Ernest Pignon Ernest mette ses œuvres dans des endroits qui on sens avec le dessin ! Par exemple avec « Expulsé » l’œuvre avec l’homme et la femme qui sont obligé de partir de leur logement, Ernest la mise à Paris sur des bâtiment à moitié détruit.

Mais parfois il y avait des dessins bizarres et dont je ne comprenais pas trop le sens.

Mais l’expo était vraiment superbe ! Ses dessins ressemblaient beaucoup à des photographies noire et banc !

Annette

Ernest Pignon Ernest est un artiste d’art urbain, il intervient depuis 1966 dans l’espace public.

L’exposition rassemblait plus de 300 de ses travaux souvent photographiés,  comme celles que j’ai vue : « Rimbaud » 1978, « Expulsés » 1979, « Derrière la vitre » de 1996 à 1998, « Pasolini, si je reviens » 2015, « Le poète fait son pays, parcours Genet » 2006 à Brest, d’ailleurs celle ci nous en avons une photographie au collège !

Comme nous l’avons vu, Ernest Pignon Ernest travail le dessin sur du papier de rotative de journaux avec du fusain et de la pierre noire, il utilise la technique de la sérigraphie !

Ses dessins représentent souvent des personnes à tailles réelles. Pour lui l’endroit où il expose ses dessins est très significatif de l’œuvre !

J’ai beaucoup aimée cette exposition car les thèmes qu’il aborde sont très touchants et souvent réfléchis.

Souvent, il rend hommage à des hommes et des femmes du quotidien qui ont marqué leur temps. Chacun de ses sujets sont très intéressants !

Bref, j’ai beaucoup aimée !

Adeline 

Parcours Genet Brest 2006

J’ai bien aimé l’exposition car j’ai trouvé son travail étonnant, parce que ses dessins d’Homme était à taille humaine c’était donc impressionnant à voir.

J’ai aussi bien aimé le fait que ses œuvres soit éphémère qu’elle ne dure qu’un moment et que nous ne pouvons pas savoir quand est ce qu’elles s’en iront.

Ernest Pignon-Ernest détaille beaucoup ses œuvres : chaque trait de muscle, chaque petit pli de vêtement tout est présent.

Ernest Pignon-Ernest affiche ses œuvres dans la rue, nous n’avons pu voir que des photos de ses œuvres accrochées en pleine rue sauf une qu’il avait fait sur du papier journal.

Margaux

J’ai beaucoup aimé cette exposition, l’intention que met Ernest Pignon Ernest dans ses œuvres se ressent fortement, le désir de faire passer un message fort. J’aime la façon dont l’exposition installe ses œuvres. Cette organisation permet de nous imprégner dans l’ambiance, la situation de l’œuvre.

Janna

Il cherche à défendre les droits de l’Homme. J’ai trouvé son travail cohérent et l’émotion à transmettre clair le fait qu’il expose son travail dans la rue montre qu’il veut montrer ces personnes ce qu’elles ont fait aux yeux de tous. Je trouve son travail structurer et réfléchit.

En bref j’ai vraiment adoré son travail.

KAËLY

La première œuvre qui était exposée était le taureau de la guerre qui a été reprise par Ernest pignon Ernest nous avons vu de nombreux tableaux qui témoignaient du racisme (des maladies etc), une peinture nous montrer le cauchemar d'un homme et sa femme expulsés de leur maison en plein cœur de Paris.

Nous avons ensuite vu les expressions de personnes dans les cabines téléphoniques ou encore la tête de la méduse (créature de la mythologie grecque : femme aux cheveux fais de serpent) .

J’ai beaucoup aimé.

Giovani

Ernest est très précis, recherche beaucoup de technique.

C’est un Artiste engagé qui exprime ses pensées dans ses œuvres, c’est un humaniste. J’aime beaucoup le travail de Ernest, il y a tellement de détaille des plis, des reflets … On dirait que ce sont de vrais personnages.

Louise

J'ai aimé cette photo parce que l 'allusion au drap de Jésus et la méduse de Caravage a été bien trouvée.

Danaé

Le travail que j'ai le plus aimé est celui de Méduse car l'artiste a eu le sens du détail et que j'ai trouvé le réalisme incroyable.

         J'ai beaucoup aimé cette exposition car Ernest Pignon Ernest est tout de suite allé dans quelque chose de très réaliste et détaillé.

Sofia

J’ai beaucoup aimé l’exposition d’Ernest Pignon Ernest car il traitait de sujet important et qui sont toujours d’actualités comme l’avortement, le travail clandestin, la dictature, etc. De plus, j’ai beaucoup aimé le fait que ses œuvres soient éphémères et in situ, car ça leur donnait un sens très particulier et très vrai. Il a également un talent fou pour le dessin au fusain et en général qui rendait son travail encore plus puissant.

Eloïse

Naples, 1990

Ernest-Pignon Ernest est un précurseur de l’art urbain. Il intervient in situ depuis 1966. Sa première œuvre fut placée dans le Vaucluse contre l’installation d’une base militaire. C’est un artiste engagé montrant à l’homme ses défauts, ses injustices, son histoire à travers ses collages éphémères. Ses collages s’inscrivent sur les murs, dans les lieux ayant une histoire. Il aborde des thèmes d’actualité et de société, dénonce parfois.

Ernest-Pignon Ernest emploie le fusain et la pierre noire et représente des figures humaines à l’échelle 1. Pour cela, il travaille avec des modèles et des danseurs. Ainsi, ses dessins s’imprègnent des formes et des courbes des corps. Je trouve que sa maîtrise du corps rend si réelle ses personnages qu’on les sent vivre ou revivre. On pourrait croire qu’on peut les saisir, leur parler. Il a fabriqué une gomme qu’il a taillée comme un peigne. C’est pour cela que l’on voit des traits sur ses réalisations. Il obtient ainsi différents effets. Ernest-Pignon Ernest utilise comme support des fins de rotatives à journaux. Ses collages adhèrent ainsi harmonieusement avec le mur et cela rend le dessin encore plus marquant. Tous ses dessins sont réalisés dans son atelier. Ensuite, ils les reproduits grâce à la technique de sérigraphie.

« Je travaille, conçois mes images en sachant où et comment elles seront installées. »

L’artiste s’inspire de l’art et de la poésie, par exemple dans son dessin dédié à Rimbaud. Il représente un Rimbaud jeune, habillé comme de nos jours. De manière éphémère, Rimbaud revit dans plusieurs lieux de Charleville et à Paris. Ernest s’intéresse aussi à des gens banals de Paris. Ces hommes et femmes qui ont été expulsés de leurs logements pour en construire de nouveaux plus « chics ». Il a représenté un homme et une femme, portant matelas et valises. Toute leur vie dans leurs mains : c’est poignant. Ernest-Pignon Ernest s’intéresse aussi au racisme et aux migrations. A Nice, la ville avait été jumelée avec le Cap (Afrique du Sud) alors « capitale du racisme institutionnalisé ». Alors, il a décidé de faire un collage représentant des familles noires derrière des grillages. Ernest réagit à l’actualité.

Je pense que si ses œuvres étaient exposées dans un musée. Cela n’aurait plus le même sens, le même intérêt. Ses œuvres sont faites pour des lieux particuliers qui ont une histoire, une mémoire. J’ai apprécié cette exposition car elle amène à réfléchir et chaque travail a un sens. Tout est étudié. On interpelle les passants. Ils regardent ou non les dessins mais si une personne est intriguée, intéressée, dérangée ou est poussée à la réflexion, le travail est réussi.

Iris

La Commune, collage sur les marches de Montmartre, Paris 1971

Nice, 1974

Nice et Le Cap se sont jumelés en 1974, et pour fêter ça ils ont fait un match de rugby, sachant qu’à l’époque, le rugby était que pour les « blancs ». Ernest Pignon Ernest a donc collé sur tout le mur qui menait au match, des centaines d’exemplaire de dessin d’une famille noire. Il a fait ça pour lutter contre le racisme.

J’ai beaucoup aimé cette œuvre car il a utilisé son temps et son énergie pour défendre les Noirs et je pense (et espère) que le message est bien passé.

Rosalie

Ernest Pignon Ernest

Ernest Pignon Ernest est un street artiste qui dessine et colle ces images dans la rue à des endroits précis. J’ai bien aimé ses dessins en grand format, il met beaucoup de détails et j’aime bien le fusain.

Swann

J'ai particulièrement aimé l’œuvre avec les bouteilles d'Ernest Pignon Ernest. 

Il a demandé à des prisonniers leurs obsessions, il les a dessinées dans des bouteilles pour faire un appel à l'aide.

Puis il les a collées sur les murs d'une prison.

Loane

J’ai bien aimé cette exposition car chaque œuvre avait une histoire. Par contre cela me fais de la peine pour les hommes et femmes.

J’ai bien aimé.

Tyler

J’ai aimé l’exposition les œuvres étaient originales et unique. Les œuvres avaient beaucoup de détails et c’est très beau et réaliste. Mais quelques œuvres étaient bizarres et lugubre.

Yasmine.

J’ai aimé cette exposition, j’ai trouvé les œuvres en noire et blanc très belle, et qu’il y a plein de détails réalistes.

Bianca.

J’ai beaucoup aimé l’exposition car je trouve qu’Ernest Pignon Ernest dessine extrêmement bien, et que ses dessins sont très réalistes. J’aime beaucoup ses dessins, mes œuvres préférées sont les cabines téléphoniques où il montre qu’on ne peut pas entendre les conversations des personnes, mais qu’on peut voir leurs expressions sur leurs visages.

Balkis

J'ai trouvé l'exposition très intéressante. Les œuvres avaient beaucoup de détails. Elles avaient chacune leurs histoires, leurs sujets... il mettait en valeur ses œuvres avec tous les muscles. Il expose ces œuvres dans les rues pour les passants. Les œuvres étaient très grandes, très imposantes.

Célia

J’ai beaucoup aimé cette exposition car les dessins était très réaliste. On comprenais tout de suite le message qu’Ernest Pignon Ernest voulait nous transmettre, mais ce qui m’a le plus impressionné c’est que dans chacune de ses œuvres une histoire était raconté.

Maé

Ernest Pignon Ernest travaille directement dans son atelier sur du papier journal. Son travail est ensuite sérigraphié puis collé dans la rue (street art) mais jamais dans un endroit au hasard. L'emplacement a toujours un rapport avec la situation (histoire) de l'oeuvre ou avec la personne qu'il met en valeur dans son travail. Il rend beaucoup hommage en s'inspirant de faits réels (l'homme et la femme expulsés de chez eux, etc...). Il utilise le fusain et la pierre noire. Il fait poser des danseurs pour reproduire le moindre détail sur le corps car ils sont extrêmement souples.

         Les travaux que j'ai le moins aimé sont ceux des cabines téléphoniques car ils ne m'inspiraient pas grand-chose et que les gens paraissaient maussades voire morts.

         Le travail que j'ai le plus aimé est celui de Méduse car l'artiste a eu le sens du détail et que j'ai trouvé le réalisme incroyable.

         J'ai beaucoup aimé cette exposition car Ernest Pignon Ernest est tout de suite allé dans quelque chose de très réaliste et détaillé.

Sofia

J'ai bien aimé l'exposition car Ernest Pignon Ernest met en valeur des célébrités ou des personnes du quotidien (tel les bannis).

IL travaille au fusain et à la pierre noire sur des feuilles très grand format qui sont ensuite sérigraphiées puis collées sur des murs choisis au préalable.

Il s'imprègne de son sujet, il travaille et lit énormément (parfois pendant des mois), pour ensuite dessiner.

Louis